Les débats, qui ont commencé avec le premier tour de plaidoiries du Ghana, se poursuivront jusqu’au 16 février, selon le calendrier publié par le TIDM.
Un décision est attendue « en cours d’année », a précisé à l’AFP un porte-parole du tribunal, sans toutefois donner de date précise.
Le Ghana et la Côte d’Ivoire, respectivement deuxième et troisième économies d’Afrique de l’Ouest, se divisent sur le tracé de leur frontière maritime, qui traverse un gisement de pétrole offshore que les deux voisins souhaitent exploiter.
La partie ghanéenne fait valoir que Ghana et Côte d’Ivoire « ont mutuellement reconnu, respecté et fait application d’une frontière maritime commune, et ce pendant plus de 50 ans. Cette frontière suit une ligne d’équidistance », a déclaré un membre du tribunal chargé de rappeler les arguments respectifs des deux pays.